Culture Kijin

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La culture Kijin est assez peu connue aujourd'hui. Il est dit que les kijins ont apporté leur tradition aux asanais, et leur ont enseigné des choses comme le travail du bois, du cuir et beaucoup de techniques médicinales.

Culture

Les Kijins possédaient d'amples vêtements et des masques de bois peints, à effigie d’animaux. Leurs armes se limitaient selon les textes à des arcs et à des bâtons, parfois à des lances. Le travail du des métaux était très rare de concernait des objets de grande valeur.

Les kijins possédaient une tradition chamanique, et étaient selon les légendes capables de communiquer avec les forêts, les rivières, le ciel et le soleil. Le Nin, d'origine chamanique, et la tradition du culte solaire asanais, ont très probablement été inspirés par des enseignements kijins révélés aux asanais.

Aucun texte ne permet actuellement de faire un quelconque rapprochement entre anima et kijins.

Magie

Il semblerait que les kijins, bien que vivant dans la forêt, aient possédé un grand raffinement, concevant des ornements et des gravures de bois hors du commun, ainsi que certains artefacts magiques, dont certains existeraient encore aujourd'hui.

Selon les mythes, la magie kijin était puissante et mystique, nécessitant une grande concentration et une harmonie absolument avec l'environnement. Très peu de traces en restent aujourd'hui, mais il semblerait que les arts pratiquée par les antiquaires et par certains géomanciens des landes soient dérivés des kijins, ayant été préservés avec le temps.

La seule magie supposée kijin ayant officiellement été conservée par les asanais est la pratique de la Lumière, par les prêtres et les assa'nins.

Disparition

Il semble que la culture kijin fut déjà en déclin quand les asanais arrivèrent sur l'archipel. Les kijins auraient autrefois construit de grandes cités de pierre, avant de revenir peu à peu vers la nature, jusqu'à redevenir sauvages.

Il est probable que la cohabitation entre asanais et kijins eut duré plusieurs siècles. Certains documents indiquent que des conflits seraient apparus de manière occasionnelle. Les textes les concernant cessent brutalement à partir du Premier Âge Sombre, indiquant que leur disparition remonte probablement à cette époque.